Illich écrivait en 1976: « Lorsque les gens ont entraîné leur esprit à accepter que des valeurs puissent être produites et mesurées, alors ils sont prêts à accepter toute sorte de hiérarchie. Il existe une échelle pour le développement des nations, une autre pour l’intelligence des bébés; même les progrès dans la recherche de la paix peuvent se mesurer au nombre de morts. Dans un monde instruit, la route du bonheur est pavée par l’indice de la consommation.»
Donnant tous crédits à Illich il est intéressant de constater combien de ce que nous apprenons à l’école était tenu pour acquis pour toujours.
Or chaque jour, lorsque je recherche pour mon petit-fils des informations pour comprendre les étoiles et l'univers, je découvre que ce que j'ai appris à l’école au sujet du monde naturel il y a un peu plus d'un demi-siècle n'a que de valeur pour essayer d’interpréter ce que je lis aujourd'hui. Je savait pourtant que cette actualisation de ce qui est dit à l’école est nécessaire et rarement se fait. Et encore, je ne parle ici que de cette l'école qui vient de la pensée de Comenius et plus tard des humanistes et de ceux qui aujourd'hui voient l'école comme l'un des lieux où enfants et adultes en dialogue tentent constamment de mieux interpréter le monde.
Mais Illich était très clair sur ce côté perverse de l’école utilisée par qui, pour paraphraser Dewey, la transforma de lieu pour la découverte de l’humanité en école de fabrication des citoyens nationaux. Jusqu’au présent et dans n’importe quel système politique ils parviennent à mettre leurs petits officiers dans la structure et à faire répéter ce qu'ils leur ont instruit d’instruire. Apparement cela devient de plus en plus difficile dans certains pays. Les destinateurs de cette école montrent plus clairement qu'ils en ont assez, mais sans références réfléchies c’est l'individualisme qui les fait attaquer les petits fonctionnaires qui ensuite fuient de ce genre de travail. Ni grands, ni petits donnent signal de vouloir retrouver des groupes d'apprentissage. Pourquoi le devrait-il ? Avec ce qui se passe aujourd’hui, on ne peut qu’apprécier la capacité d’Illich à analyser l’avenir.
En attendant, je recherche des informations pour mon petit-fils, puis j’adapte avec lui le langage à notre compréhension, sachant que nous ne faisons qu'esquisser une première image de ce que nous voulions savoir. J'espère en parler à ses institutrices. Parce que je sais que, comme moi, elles sont aussi déterminées à construire cette école du dialogue dont ceux au pouvoir disent qu'elle n'existe pas et cette partie du monde universitaire elle aussi prise para l’individualisme hiérarchisée dit que c'est l'école du passé.
Donnant tous crédits à Illich il est intéressant de constater combien de ce que nous apprenons à l’école était tenu pour acquis pour toujours.
Or chaque jour, lorsque je recherche pour mon petit-fils des informations pour comprendre les étoiles et l'univers, je découvre que ce que j'ai appris à l’école au sujet du monde naturel il y a un peu plus d'un demi-siècle n'a que de valeur pour essayer d’interpréter ce que je lis aujourd'hui. Je savait pourtant que cette actualisation de ce qui est dit à l’école est nécessaire et rarement se fait. Et encore, je ne parle ici que de cette l'école qui vient de la pensée de Comenius et plus tard des humanistes et de ceux qui aujourd'hui voient l'école comme l'un des lieux où enfants et adultes en dialogue tentent constamment de mieux interpréter le monde.
Mais Illich était très clair sur ce côté perverse de l’école utilisée par qui, pour paraphraser Dewey, la transforma de lieu pour la découverte de l’humanité en école de fabrication des citoyens nationaux. Jusqu’au présent et dans n’importe quel système politique ils parviennent à mettre leurs petits officiers dans la structure et à faire répéter ce qu'ils leur ont instruit d’instruire. Apparement cela devient de plus en plus difficile dans certains pays. Les destinateurs de cette école montrent plus clairement qu'ils en ont assez, mais sans références réfléchies c’est l'individualisme qui les fait attaquer les petits fonctionnaires qui ensuite fuient de ce genre de travail. Ni grands, ni petits donnent signal de vouloir retrouver des groupes d'apprentissage. Pourquoi le devrait-il ? Avec ce qui se passe aujourd’hui, on ne peut qu’apprécier la capacité d’Illich à analyser l’avenir.
En attendant, je recherche des informations pour mon petit-fils, puis j’adapte avec lui le langage à notre compréhension, sachant que nous ne faisons qu'esquisser une première image de ce que nous voulions savoir. J'espère en parler à ses institutrices. Parce que je sais que, comme moi, elles sont aussi déterminées à construire cette école du dialogue dont ceux au pouvoir disent qu'elle n'existe pas et cette partie du monde universitaire elle aussi prise para l’individualisme hiérarchisée dit que c'est l'école du passé.